En 1882, à la fin de ses études, elle souhaite devenir journaliste, une chasse gardée masculine à cette époque. Un seul éditeur accepte ses articles, à condition qu’elle ne les signe pas.
Elle réplique : « Monsieur, ce que j’écris, je le signe ! »
Un directeur de journal progressiste l’embauche. Au lieu de l’ancrer dans les pages féminines, il lui confie une chronique. Elle y parle du travail des enfants, des refuges pour les femmes et les enfants victimes de violence, de la fondation de bibliothèques publiques, de l’éducation universitaire pour les femmes, jusque-là refusée aux canadiennes-françaises. Elle va à son travail à bicyclette…
Robertine se présentera sur scène avec son vélo.
Lien pour s’inscrire:
https://www.alliance-francaise.ca/fr/art/saison-culturelle/204-robertine-barry-premiere-journaliste-francophone-au-canada
(billets aussi disponibles sur place)
Contacts : smth7631@rogers.com, bodechristian52@gmail.com